NOS RECHERCHES CONTRE LE CANCER : DES PROGRES POUR TOUS AUJOURD’HUI, DE L’ESPOIR POUR DEMAIN !
Nos équipes de recherche mènent un combat sans relâche contre le cancer. Grâce à votre don, elles disposent de ressources indispensables. Vous participez ainsi à la mise en œuvre et à l’aboutissement de travaux innovants, à des découvertes et des avancées essentielles à la santé et à l’avenir de tous.
Faire un don

NOS RECHERCHES CONTRE LE CANCER : DES PROGRES POUR TOUS AUJOURD’HUI, DE L’ESPOIR POUR DEMAIN !
Nos équipes de recherche mènent un combat sans relâche contre le cancer. Grâce à votre don, elles disposent de ressources indispensables. Vous participez ainsi à la mise en œuvre et à l’aboutissement de travaux innovants, à des découvertes et des avancées essentielles à la santé et à l’avenir de tous.
Faire un don

Flèche

La Professeure Corinne ABBADIE*, responsable de l’équipe « Sénescence, Fibrose et Cancer », nous expose les recherches menées avec son équipe, en collaboration avec l’unité mixte de recherche CANTHER (Hétérogénéité, Plasticité et Résistance aux Thérapies des Cancers)

Ces recherches visent notamment à comprendre les liens entre le cancer et le vieillissement. Ces études renforcent les connaissances déjà acquises sur les mécanismes du cancer, et ce afin de se diriger vers de nouvelles thérapies.

YouTube

En chargeant cette vidéo, vous acceptez la politique de confidentialité de YouTube.
En savoir plus

Charger la vidéo

*(Univ. Lille, CNRS, Inserm, CHU de Lille, Institut Pasteur de Lille)

Nos recherches contre le cancer


Cancers secondaires après radiothérapie :
comprendre et prévenir cette complication rare
mais sévère des thérapies anti-cancéreuses.
+

Cancers secondaires après radiothérapie : comprendre et prévenir
cette complication rare mais sévère des thérapies anti-cancéreuses.

Cette première étude menée par l’équipe « Sénescence, Fibrose et Cancer » met en jeu les mécanismes de vieillissement prématuré des cellules induit par le traitement par radiothérapie pour prévenir les cancers secondaires post-radiothérapie qui se développent tardivement chez certains patients. Les travaux menés ont pour objectif de démontrer par quels mécanismes les cellules exposées à de faibles doses répétées de radiation finissent par redonner naissance à des cellules cancéreuses.

Ces seconds cancers ne sont ni une récidive du cancerinitial, ni une métastase, mais un nouveau cancer généré, paradoxalement, par le traitement anticancéreux. En effet, beaucoup de traitements anticancéreux agissent en générant en causant des dommages à l’ADN, létaux pour les cellules tumorales, ce qui est le but curatif recherché, mais peut provoquer des mutations, et donc être cancérigène. Bien que ces seconds cancers soient un effet secondaire très rare des thérapies, ils sont jusqu’à présent impossibles à prévenir et très difficiles à traiter.

Des études menées sur des modèles cellulaires in-vitro ont permis de démontrer que ces cellules subissent des dommages à l’ADN très discrets, des cassures simple brin, considérées généralement comme des dommages réparés rapidement et ayant peu de conséquences, mais qui au fur et à mesure des irradiations quotidiennes finissent par ne plus être réparées, s’accumulent et induisent le vieillissement prématuré des cellules.

La connaissance apportée par l’étude de ces mécanismes cellulaires et moléculaires permettra d’identifier de nouvelles cibles de candidats-médicaments capables soit de prévenir l’apparition de cellules sénescentes suite à un traitement par radiothérapie, soit d’éliminer spécifiquement ces cellules, pour prévenir ou réduire ces complications tardives./p>

Je fais un don

Cancers secondaires après radiothérapie : comprendre et prévenir
cette complication rare mais sévère des thérapies anti-cancéreuses.

Cette première étude menée par l’équipe « Sénescence, Fibrose et Cancer » met en jeu les mécanismes de vieillissement prématuré des cellules induit par le traitement par radiothérapie pour prévenir les cancers secondaires post-radiothérapie qui se développent tardivement chez certains patients. Les travaux menés ont pour objectif de démontrer par quels mécanismes les cellules exposées à de faibles doses répétées de radiation finissent par redonner naissance à des cellules cancéreuses.

Ces seconds cancers ne sont ni une récidive du cancerinitial, ni une métastase, mais un nouveau cancer généré, paradoxalement, par le traitement anticancéreux. En effet, beaucoup de traitements anticancéreux agissent en générant en causant des dommages à l’ADN, létaux pour les cellules tumorales, ce qui est le but curatif recherché, mais peut provoquer des mutations, et donc être cancérigène. Bien que ces seconds cancers soient un effet secondaire très rare des thérapies, ils sont jusqu’à présent impossibles à prévenir et très difficiles à traiter.

Des études menées sur des modèles cellulaires in-vitro ont permis de démontrer que ces cellules subissent des dommages à l’ADN très discrets, des cassures simple brin, considérées généralement comme des dommages réparés rapidement et ayant peu de conséquences, mais qui au fur et à mesure des irradiations quotidiennes finissent par ne plus être réparées, s’accumulent et induisent le vieillissement prématuré des cellules.

La connaissance apportée par l’étude de ces mécanismes cellulaires et moléculaires permettra d’identifier de nouvelles cibles de candidats-médicaments capables soit de prévenir l’apparition de cellules sénescentes suite à un traitement par radiothérapie, soit d’éliminer spécifiquement ces cellules, pour prévenir ou réduire ces complications tardives.

Je fais un don


Une piste thérapeutique
pour réduire les effets secondaires
d’une chimiothérapie.
+

Une piste thérapeutique pour réduire les effets secondaires d’une chimiothérapie.

Le projet conduit par le Pr Christelle CAUFFIEZ s’intéresse au cisplatine, une chimiothérapie indiquée pour lutter contre les tumeurs dans de nombreux cancers. Elle s’accompagne toutefois d’effets secondaires importants, en particulier une toxicité au niveau des reins qui peut entraîner une insuffisance rénale aiguë et des douleurs europathiques importantes. Des scientifiques de l’Inserm, de l’université et du CHU de Lille, du CNRS et de l’Institut Pasteur de Lille, en collaboration avec des chercheurs américains ont identifié un médicament qui pourrait changer la donne pour les patients.

Les scientifiques se sont intéressés à un médicament appelé « istradefylline » qui a déjà été approuvé aux Etats-Unis et au Japon pour le traitement de la maladie de Parkinson. Ce médicament fonctionne en bloquant des récepteurs à la surface de nos cellules, les récepteurs de l’adénosine.

Avant d’envisager la généralisation de cette approche thérapeutique aux patients atteints de cancers, ces résultats devront d’abord être consolidés en organisant un essai clinique rigoureux. Néanmoins, le fait que l’istradefylline soit déjà utilisée chez l’humain pour traiter une autre pathologie constitue d’ores et déjà une perspective intéressante pour améliorer la prise en charge des patients à court terme.

Je fais un don

Une piste thérapeutique pour réduire les effets secondaires d’une chimiothérapie.

Le projet conduit par le Pr Christelle CAUFFIEZ s’intéresse au cisplatine, une chimiothérapie indiquée pour lutter contre les tumeurs dans de nombreux cancers. Elle s’accompagne toutefois d’effets secondaires importants, en particulier une toxicité au niveau des reins qui peut entraîner une insuffisance rénale aiguë et des douleurs neuropathiques importantes. Des scientifiques de l’Inserm, de l’université et du CHU de Lille, du CNRS et de l’Institut Pasteur de Lille, en collaboration avec des chercheurs américains ont identifié un médicament qui pourrait changer la donne pour les patients.

Les scientifiques se sont intéressés à un médicament appelé « istradefylline » qui a déjà été approuvé aux Etats-Unis et au Japon pour le traitement de la maladie de Parkinson. Ce médicament fonctionne en bloquant des récepteurs à la surface de nos cellules, les récepteurs de l’adénosine.

Avant d’envisager la généralisation de cette approche thérapeutique aux patients atteints de cancers, ces résultats devront d’abord être consolidés en organisant un essai clinique rigoureux. Néanmoins, le fait que l’istradefylline soit déjà utilisée chez l’humain pour traiter une autre pathologie constitue d’ores et déjà une perspective intéressante pour améliorer la prise en charge des patients à court terme.

Je fais un don

 

Le cancer menace nos chances de vivre mieux plus longtemps

Infographie Cancer

Les principaux cancers

Homme Femme
Prostate Sein
Poumon Côlon-rectum
Côlon-rectum Poumon

Source : INCa

POUR STOPPER CETTE PROGRESSION,
ACCÉLÉREZ LA RECHERCHE SUR LE CANCER AVEC VOTRE DON

N’OUBLIEZ PAS : JUSQU’À 66 % DE DÉFISCALISATION !
Pour en bénéficier, profitez d’une réduction fiscale de 66 % du montant de votre don dans le cadre de l’impôt sur le revenu et de 75 % dans le cadre de l’IFI. Nous vous adresserons un reçu fiscal après réception de votre don.

VOUS AUSSI, SOUTENEZ LA LUTTE CONTRE LE CANCER AVEC UN DON DÉDUCTIBLE DE VOTRE IMPÔT !

Soyons tous un peu
chercheurs face
à ce fléau redoutable !

>

Cancers : avancées et espoirs à l’Institut Pasteur de Lille

Il y a presque autant de cancers différents que de malades, chaque tumeur étant associée à des mécanismes moléculaires propres. Seules les avancées de la recherche permettront de les décrypter, de les comprendre et de les enrayer. La découverte des traitements qui guériront, demain, chaque patient est un processus – long certes – mais indispensable, sur lequel reposent tous nos espoirs.

Plus de 18 millions de nouveaux cas et 9,6 millions de décès sont recensés chaque année dans le monde. Des chiffres lourds, qui justifient pleinement la mobilisation très active des chercheurs de l’Institut Pasteur de Lille dans ce domaine. Grâce à deux équipes de recherche dédiées, notre Institut peut explorer chaque année de nouvelles pistes prometteuses et favoriser l’émergence de progrès déterminants.

VOTRE DON ACCELERE LES PROGRES DE LA RECHERCHE

La recherche est un processus long mais fondamental pour découvrir les traitements de demain contre le cancer. Il y a presque autant de cancers différents que de malades. Chaque tumeur est associée à un mécanisme moléculaire différent.

La tumeur s’adapte, la recherche doit s’adapter aussi.
ENSEMBLE, trouvons une arme efficace contre le cancer !

PRATIQUE, IMMÉDIAT, SÛR, AVANTAGEUX : FAITES UN DON EN LIGNE !
Pour soutenir la recherche sur le cancer sans perdre une seconde, quelques clics suffisent pour faire un don. Notre site est 100 % sécurisé et vous bénéficiez des mêmes avantages fiscaux qu’en faisant un don par courrier. Chaque soutien est important contre la maladie.

Le cancer
en chiffres

<

Portrait d’une chercheuse

Aline HANTUTE-GHESQUIER

Doctorante en biologie
Equipe TARGET- Unité CANTHER « Cancer Heterogeneity, Plasticity and Resistance to Therapies »

Originaire des Hauts-de-France, une région à laquelle elle ne cache pas son attachement, Aline s’est vue prédestinée aux sciences dès le collège, ce qui se confirmera avec le choix du baccalauréat S. Après une troisième année de Licence à Paris, elle revient à Lille pour y préparer son master puis son doctorat. Les réponses positives qu’elle recevra à ses demandes de stage l’orienteront vers la cancérologie. Aline, qui a suivi des études qu’elle juge très carrées, s’amuse du fait que finalement, en sciences, on ne contrôle pas tout, malgré toute la rigueur que l’on peut avoir. « Le vivant est extrêmement complexe » souligne-t-elle, « les résultats obtenus ne sont pas toujours ceux auxquels on s’attendait, influencés par un tas de facteurs que l’on ne maîtrise pas toujours ! ».

Aline HANTUTE-GHESQUIER, qui a rejoint en juin 2020 le projet « Covid-19 et Cancer » dirigé par le Dr. DUTERQUE, a récemment soutenu sa thèse. Son doctorat en poche, elle espère que les collaborations établies lors de ce projet passionnant lui permettront de poursuite dans le domaine de la recherche. Consciente du nombre limité de postes de chercheur partout en France, elle aimerait avant tout rester dans la région. A défaut de pouvoir poursuivre dans le domaine de la recherche, elle n’exclue pas de devenir consultante dans le privé où elle espère être toujours confrontée à cette démarche de réflexion. C’est en effet le fait d’être face à des problématiques auxquelles il faut apporter des réponses, et qui constituent un défi, qui lui plait dans le métier qu’elle exerce actuellement.

Foire aux questions

Jusqu’à quand puis-je faire un don pour bénéficier de la déduction fiscale sur mon impôt sur le revenu 2022 ?
Vous avez jusqu’au 31 décembre minuit pour effectuer votre don. Passé ce délai, il sera trop tard. N’attendez pas cette date butoir pour l’effectuer et bénéficier de la déduction fiscale à laquelle ont droit les donateurs. Et n’oubliez pas, plus tôt vous effectuez votre don, plus vite il permet à la recherche d’avancer sur la maladie.

Si je fais mon don le 31 décembre, recevrai-je mon reçu fiscal ?
Bien sûr. Il vous sera envoyé dès réception de votre don. Si vous l’effectuez par chèque, il vous sera adressé par courrier dans un délai de 2 à 3 semaines. Si vous effectuez votre don en ligne, votre reçu fiscal vous sera envoyé directement à votre adresse e-mail. Votre reçu fiscal ne devra pas être joint à la déclaration mais simplement conservé en cas de contrôle.

Comment faire un don à l’Institut Pasteur de Lille ?

Par courrier en adressant votre chèque sous enveloppe non affranchie à :

Institut Pasteur de Lille
Libre réponse 95580 – 59049 LILLE CEDEX

En ligne en cliquant ici

  • Jusqu’à quand puis-je faire un don pour bénéficier de la déduction fiscale sur mon impôt sur le revenu 2022?
    • Vous avez jusqu’au 31 décembre minuit pour effectuer votre don. Passé ce délai, il sera trop tard. N’attendez pas cette date butoir pour l’effectuer et bénéficier de la déduction fiscale à laquelle ont droit les donateurs. Et n’oubliez pas, plus tôt vous effectuez votre don, plus vite il permet à la recherche d’avancer sur la maladie.
  • Si je fais mon don le 31 décembre, recevrai-je mon reçu fiscal ?
    • Bien sûr. Il vous sera envoyé dès réception de votre don. Si vous l’effectuez par chèque, il vous sera adressé par courrier dans un délai de 2 à 3 semaines. Si vous effectuez votre don en ligne, votre reçu fiscal vous sera envoyé directement à votre adresse e-mail. Votre reçu fiscal ne devra pas être joint à la déclaration mais simplement conservé en cas de contrôle.
  • Comment faire un don à l’Institut Pasteur de Lille ?
    • Par courrier en adressant votre chèque sous enveloppe non affranchie à :
      Institut Pasteur de Lille
      Libre réponse 95580 – 59049 LILLE CEDEX

      En ligne en cliquant ici